My sister is two years older than me.
(For my birthday, was I seven?, I asked if I became as old, or older, than her.)
Ma soeur a deux ans de plus que moi.
(Pour mon anniversaire, avais-je sept ans ?, j’ai demandé si j’étais devenue aussi âgée ou plus âgée qu’elle.)
When I was born, she tried to say « Pascaline », and she succeeded only in saying « Cali » (Kaly…).
It has not been long until I became Qali for everybody, and this is my true name.
Quand je suis née, elle essayait de dire « Pascaline » et n’a réussi qu’à dire « Kalli » (Qaly…).
Il n’a pas fallu longtemps pour que je devienne Ckali pour tout le monde, et ceci est mon vrai nom.
It is a joke: find all the possibilities to write it: Kaly, Qâli, Calhy, Qu’a Li… So choose which you prefer.
C’est un jeu : trouvez toutes les façons d’écrire Qhâlhiy, Kâli, Cali... Choisissez celle que vous préférez.
I was eight when we moved. Suddenly, I became « Pascaline », for my teacher and the other pupils of my classroom. I felt a distance, being called « Pascaline », that is less friendly than « Kaly ».
J’avais huit ans quand nous avons déménagé. Je suis soudain devenue « Pascaline » pour ma maîtresse et pour les autres élèves de ma classe. Je ressentais une distance d’être appelée « Pascaline », moins amical que « Kaly ».
You will be right by telling me that I must learn to feel that Pascaline is also friendly.
But it’s too late for me, I am Cahli and I will remain Qhâlli.
I wear it as a comfortable old clothing – as old as me.
Vous aurez raison si vous me dites que je dois apprendre à ressentir Pascaline comme amical aussi.
Mais c’est trop tard pour moi, je suis Kali et je resterai Qalhy.
Je le porte comme un vieux vêtement confortable – aussi vieux que moi.
Thank you dad’ for the photos.
Merci papa pour les photos.
convaincant !
et puis aussi un ami de Lyon qui a « nos âges » a une petite fille qu’il appelle Quali…Et comme la petite et lui sont sympas, je n’hésite pas pour toi aussi !
zibou
ps
d’où vient le fait de systématiquement tout traduire ?
Ce blog est comme un lien avec nos nombreux visiteurs : si tu le parcours, tu verras de nombreux « helpers », on peut aussi dire « bénévoles », des gens qui sont logés et nourris chez nous moyennant quelques heures de travail. Depuis 2012, dans le cadre de ces structures nous avons reçu 93 personnes ! (Pas toutes en même temps, maximum quatre à la fois.) Beaucoup d’Européens, des Américains (États-Unis et Canada, une seule personne d’Amérique latine), une seule personne d’Afrique, beaucoup d’Asiatiques. Alors nous pratiquons l’anglais le plus souvent. Nous gardons le contact avec certains et les autres n’existent plus que dans notre souvenir.
Ce système d’échanges est « gagnant-gagnant ». Les gens que nous recevons désirent le plus souvent connaître notre culture, ça fonctionne mieux avec cette formule que dans la pratique d’un tourisme plus anonyme.
Alors je traduis pour mes lecteurs peu francophones, et pour moi c’est un excellent exercice, même si je fais certainement de belles bourdes de temps en temps !
Merci de t’intéresser à mon blog.